A regarder comment Estelle Mossely, notre championne olympique, couvait des yeux son mari Tony Yoka, l’an dernier à Rio, on se dit que ce se sport produit aussi de grands tendres. Et côté psy, c’est tout bénef parce qu’on se défoule autant qu’on encaisse.
Trop sur la défensive, on apprend à foncer. Trop stressée, on apprend à faire le tri, à aller à l’essentiel. « On est dans la boxe comme on est dans la vie », remarque Jean-Yves Davison, coach au Noble Art Club. C’est en faisant des exercices qu’on prend conscience de nos faiblesses et c’est en ressentant nos erreurs qu’on peut les corriger au quotidien. Esquiver les coups, réagir au bon moment, ça facilite la vie, non ?